Définition du pervers narcissique (PN). Ce blog décrit les traits de ce caractère particulier. Toutes les caractéristiques du profil psychologique ainsi que la personnalité des victimes. Les signes, les ruses du manipulateur pervers sur la violence et le harcèlement moral subis par la victime. Nous vous remercions de laisser des commentaires.

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dimanche 22 novembre 2015

Ses caractéristiques




Intelligence, niveau culturel

Certains ont un très bon niveau culturel. Tous sont intelligents et particulièrement bons psychologues.

Un comédien "né"

Le pervers narcissique est un « comédien né ». Ses mensonges à force d’entraînement sont devenus chez lui une seconde nature.
Sa palette de personnalités, de personnages, d’émotions feintes est étonnante. L’éventail de son jeu d’acteur est étonnant, infini, sans cesse renouvelé.
Il donne le plus souvent l’image d'une personne parfaitement calme, ne s’énervant jamais.


Absence de valeurs morales

Leur manque d’état d’âme, de remords ou de problème de conscience peut être si extrême, qu’au début de leur relation avec elles, leurs victimes ne peuvent y croire. Ce manque de scrupule les déroute, les estomaque ou les abasourdit.

Absence d'empathie

Les pervers narcissiques sont incapables d’aimer les autres. Dans leur immense majorité, ils n’ont aucune « humanité », aucun sentiment humain, aucun état d’âme, aucun affect. Ils sont froids et calculeurs, totalement indifférents à la souffrance d’autrui.
Mais tout en étant, le plus souvent, incapables d’avoir des sentiments humains, ils simuleront le fait d’être totalement remplis, en apparence, de bons sentiments humains et d’une sincère empathie pour autrui.
Les pervers peuvent se passionner pour une personne, une activité ou une idée, mais ces flambées restent très superficielles. Ils sont en fait souvent vides d’intérêts, sauf pour leur intérêt immédiat. Ils ignorent les véritables sentiments, en particulier les sentiments de tristesse ou de deuil (pour les autres). Les déceptions entraînent chez eux de la colère ou du ressentiment avec un désir de revanche. Cela explique la rage destructrice qui s'empare d'eux lors des séparations. Quand un pervers perçoit une blessure narcissique (défaite, rejet), il ressent un désir illimité d'obtenir une revanche. Ce n'est pas, comme chez un individu coléreux, une réaction passagère et brouillonne, c'est une rancune inflexible, implacable à laquelle le pervers applique toutes ses forces et ses capacités de raisonnement. Et alors, il n’aura que cesse d’assouvir son dessein de vengeance.
La séduction perverse ne comporte aucune affectivité, car le principe même du fonctionnement pervers est d'éviter tout affect. Les pervers, tout comme les paranoïaques, maintiennent une distance affective suffisante pour ne jamais s'engager vraiment. L'efficacité de leurs attaques tient au fait que la victime ou l'observateur extérieur n'imaginent pas qu'on puisse être à ce point dépourvu de sollicitude ou de compassion devant la souffrance de l'autre.
Les éventuels dérèglements sexuels ou la « méchanceté » foncière pourraient être les conséquences de cette absence de sentiments et d’empathie pour les autres. Il est possible que le manque d’affect empêche de ressentir l’intégralité des limites morales entre ce qui est permis ou interdit dans la société. Mais ce n’est qu’une hypothèse.


Esprit "mesquin"

On est parfois surpris de découvrir, derrière son apparence généreuse, brillante, très intelligente, un esprit mesquin, terriblement jaloux, rancunier, vengeur, d'une indéniable petitesse morale. Ses buts « nobles » et « généreux » se révèlent alors nettement moins nobles qu’il n’y paraissait au premier abord. Il semble en effet (et c’est ce qui apparaît à l’analyse) aimer se venger discrètement, sans témoin, sans que la victime s’en rende compte et il savoure le plus souvent sa vengeance en solitaire. Et c’est une des raisons pour lesquelles sa conduite peut paraître parfois secrète, indéchiffrable ou déroutante.
Si sa victime lui a résisté et lui a fait un affront, il pourra « s’amuser », par exemple, à lui envoyer une lettre d’anniversaire incompréhensible, à une date éloignée de la date d’anniversaire, cette action incongrue étant à ses yeux une « bonne plaisanterie », dont il sera d’ailleurs le seul à rire ou à jouir.
Ce genre de comportement paraît parfois être l'indicateur d’un début de psychose ou de démence précoce, en tout cas d’une réelle forme de maladie mentale, mais pas nécessairement.

Intégration sociale et extravertion

Le pervers narcissique est en général apprécié au premier abord car il paraît extraverti, sympathique et séduisant. Assez fin psychologue, il a souvent un talent pour retourner l’opinion en sa faveur et emporter l’adhésion à ses idées, même les plus contestables.

Mensonge

Le pervers narcissique est toujours, intérieurement, dans la peau d’un autre, il n'est jamais sincère, toujours menteur. Il peut aussi bien dire la vérité que mentir avec aplomb, d’une façon jusqu’au-boutiste (comme un « arracheur de dent »). Le plus souvent, il effectue de sensibles falsifications de la vérité, qu'on ne peut pas vraiment qualifier de mensonges, et encore moins de constructions délirantes. Mélanger le mensonge, la sincérité et la franchise - ce qui est, pour l'autre, très déstabilisant - fait partie de son jeu.
Derrière cette attitude de mensonge jusqu’au-boutiste, qui paraît parfois suicidaire, se cache, le plus souvent, une attitude de défi à l’ordre social, une façon de montrer qu’il est toujours le plus fort et qu’il contrôle toujours la situation... Même quand il le faudrait, il ne reconnaîtra jamais rien, ni ses mensonges, ni ses torts, même dans les moments cruciaux lors d’un interrogatoire policier, voire d'un procès d’assises.
Par contre il pourra reconnaître éventuellement un mensonge mineur s’il n'a pas grand chose à y perdre. Mais même l’aveu de ce petit mensonge sera toujours difficile à obtenir de sa part.



Egoïsme

Charité bien ordonnée commence toujours par soi-même. Il sait parfaitement et farouchement défendre ses intérêts et il en a toujours une vision très claire. Son unique objectif est d’obtenir un bénéfice pour sa propre personne. Il essaye de profiter à chaque instant de toute opportunité, de toutes les situations, de toutes les personnes rencontrées - ces personnes étant systématiquement instrumentalisées tant que cela est possible - pour en tirer, autant que possible, avantage pour lui. Sa philosophie est toujours utilitariste. Et il sait ménager ceux dont elle a besoin, son conjoint, une relation de travail… car même l’être le plus asocial a besoin d’affection, de compagnie, de présence (ne serait-ce que pour se faire admirer) et donc par moments, sera gentil avec son partenaire.
Il n'est « courageux » que quand il est sûr de gagner, et que cela va dans le sens du renforcement gratifiant de son image narcissique. Sinon, il fait preuve d’une extrême prudence et s’abstient de faire preuve de courage. Lors du naufrage du Titanic, il sera le premier à passer, selon les prétextes les plus fallacieux, avant les femmes et les enfants, dans le canot de sauvetage. La notion d’honneur ou d’élégance morale lui est inaccessible.

Paranoïa

À leur personnalité perverse et narcissique peut parfois se superposer une composante paranoïaque. À force de duper les gens, le pervers se doit d’être de plus en plus secret et d’être de plus en plus sur ses gardes. Il se confie de moins en moins. À un moment clé, il peut se révéler d’une hyper-susceptibilité maladive. Il vit dans une suspicion constante et une prudence extrême, qu’il dissimule profondément. Sa paranoïa apparaît alors décupler son intelligence, lui fournissant alors un extraordinaire regain d’énergie combative.

Egocentrisme

Comme pour tous les narcissiques, tout leur est dû. Elles n'admettent aucune mise en cause et aucun reproche Leur loi est celle de leur désir, immédiat, dans l'instant. Tout doit leur céder systématiquement. C’est comme s’ils étaient demeurés, à l’âge adulte, un enfant gâté. Un petit bobo chez eux prend de graves proportions, comme si c’était une maladie importante, devant alors inspirer alors la compassion de l’entourage.
Voici quelques exemples du mode de pensée du pervers narcissique :
· « Je suis génial, je suis fort, je suis au dessus des autres, dans le haut du panier ». · « Les autres ne peuvent pas ne pas m’aimer ». · « Je vais me servir de l'autre pour obtenir ce que je veux, ce à quoi j’ai droit ». · « Je vais m'arranger pour que ma victime se sente coupable afin qu'elle ne m'en veuille pas et qu’elle n’ait aucun désir de prendre son indépendance ». · « Pourquoi aurais-je un problème de conscience, ce n’est quand même pas de ma faute si elle est à ce point stupide ou naïve. Je n’y suis pour rien si elle est si naïve ». · « Ma victime me remerciera pour ce que je fais pour elle, ce qui est normal étant donné que c’est vrai, sans moi elle ne serait rien, c’est un honneur que je lui fais ». · « Quand il arrive un problème - même si c’est autrui qui a ce problème -, j’ai de la peine pour moi, pas pour autrui » (ce raisonnement est généralement inconscient).

Mythomanie

Le pervers narcissique a souvent une composante mythomane. Elle est liée à sa propension au mensonge - une composante opérationnelle, consciente, pour parvenir plus facilement à ses fins - et à un besoin de se voir mieux qu’il n'est dans la réalité. Il aime se mentir à lui-même, sur lui-même. Le déni (de ses défauts, de l'autre) lui permet de « s'aimer » (et de s’aimer toujours plus).
Comme tout mythomane, il ment souvent parce qu'il craint la réaction négative de l’entourage (de dévalorisation, par exemple) qu'entraînerait l'aveu de la réalité et de son mensonge. Sa mythomanie a tendance alors à s’auto-entretenir, sans fin, voire à se renforcer au cours du temps. Il se ment à lui-même, sur sa vraie valeur, sur ce qu’il est réellement. Il sait partiellement qu’il se ment à lui-même, mais en même temps il minimise son propre mensonge sur lui-même. A certains moments, il finit par croire à son mensonge, à d’autres, il a conscience de son mensonge. C’est toute l’ambivalence de la pathologie mythomane.

Haine et agressivité

Le pervers narcissique a souvent besoin de haïr pour exister ; c'est une des raisons pour lesquelles il n’est jamais satisfait par quoi que ce soit (les autres, les objets…). La haine peut être chez lui un moteur très puissant de son action et de son comportement. N’arrivant pas à obtenir et jalousant la plénitude ou le bonheur qu’il observe chez l’autre, il en vient à haïr et à détruire ce qu'il aime et recherche intensément. Étant incapable d'aimer, il essaie de détruire, par cynisme, la simplicité de toute relation naturelle et saine.
A cause de leur histoire personnelle, les pervers n'ont souvent pas pu se réaliser. Ils observent alors avec envie ce que d'autres qu'eux ont pour se réaliser. Et ils essaient de détruire le bonheur qu’ils observent auprès d'eux. Prisonniers de leur propre personnage et de l’image, le plus souvent factice, qu’ils présentent à la société - ce qui leur impose de terribles contraintes permanentes -, ils tentent alors de détruire la liberté d’autrui et de lui imposer des contraintes décidées par eux. Il y a, chez eux, une mentalité agressive d’envie, de convoitise, d'irritation haineuse à la vue du bonheur, des avantages d'autrui.
Pour s'accepter et s’affirmer, les pervers narcissiques doivent triompher de quelqu'un d'autre, le détruire, jouissant alors de sa souffrance. Cette perception, de ce qu’ils croient ne pas posséder, est subjective, elle peut même être délirante. Ce sentiment d'infériorité vis-à-vis de la personne enviée et haïe les pousse à chercher à posséder ce qui est convoité. Pour combler l'écart qui les sépare de l'objet de leur convoitise, il leur suffit alors de l'humilier, de l'avilir.
Ils envient la réussite des autres, qui les met face à leur propre sentiment d'échec, sans cesse refoulé, car ils ne sont pas plus contents des autres qu'ils ne le sont d'eux-mêmes. Pour eux, rien ne va jamais. Ils imposent aux autres leur vision péjorative ou négative du monde et leur insatisfaction chronique concernant la vie. Ils cherchent, souvent, à démontrer que le monde est mauvais, que les autres sont mauvais. Personne n’a vraiment grâce à leurs yeux. Agresser les autres est le moyen d'éviter la douleur, la peine, la dépression.

Orgueil et combativité

Le pervers narcissique est le plus souvent doté d’une combativité extrême et d’une capacité de rebond remarquable. Sa mégalomanie, son narcissisme, voire sa paranoïa, renforcent cette combativité.
Souvent immensément orgueilleux, voire mégalomane, le pervers narcissique aime gagner, à tout prix, sans fin, et ne peut admettre, une seule fois, de perdre. Il est prêt à tout, même aux coups les plus retords, pour ne jamais perdre. Le pervers est comme un enfant gâté. S’il ne rencontre pas de résistance, il ira toujours plus loin.
À cause de cette stratégie de victoires sans fin il peut parvenir à se convaincre qu’il n’y a pas de valeurs morales positives dans l’univers et qu’il gagnera toujours à agir ainsi.
À la longue cette tendance, qui peut lui assurer une dynamique du succès pendant un certain temps, devient une addiction. Signe de sa mégalomanie, elle la renforce en retour, et l'amène à ne plus pouvoir tolérer la moindre frustration ou contradiction.

Sadisme

Un plaisir pervers s'éprouve dans la vision de la souffrance de l’autre. Le pervers ressent une jouissance extrême, vitale, à voir l'autre souffrir, à le maintenir dans le doute, à l'asservir et à l'humilier. Étant incapable de relation véritable, il ne peut en établir que dans un registre pervers de malignité destructrice. Les êtres humains ne sont plus pour lui des êtres humains, mais des objets de jeu et de plaisir. Il aime chosifier l'autre, et faire en sorte que sa victime ne puisse jamais s’en sortir, ne serait-ce que pour l'empêcher de témoigner contre lui.

Narcissisme criminel

Terme imaginé par Daniel Settelen, psychiatre, et Denis Toutenu, psychiatre, dans leur livre « L'affaire Romand : le Narcissisme criminel », consacré au cas de Jean-Claude Romand, qui décrit la personnalité du pervers narcissique au moment où il passe à l’acte criminel.

Appropriation des qualités de l'autre

Plus que les biens matériels, ce sont des qualités morales, autrement plus difficiles à voler, que cherche à s’approprier le pervers : la joie de vivre, la sensibilité, l'aptitude à la communication, la créativité, les dons musicaux ou littéraires... Ainsi, lorsque le partenaire émet une idée, le pervers s'en empare et la fait sienne. S'il n'était pas litteralement aveuglé par la haine, il pourrait, dans une relation d'échange, apprendre comment acquérir un peu de ces qualités qu'il envie. Mais cela supposerait une modestie que par définition il n'a pas. Les pervers narcissiques cherchent aussi à s'approprier les passions de l'autre dans la mesure où ils se passionnent pour cet autre ou, plus exactement, ils s'intéressent à cet autre parce que cet autre est détenteur de quelque chose qui pourrait les passionner. On les voit ainsi avoir des coups de cœur, puis des rejets brutaux et « définitifs ». L'entourage comprend alors mal comment une personne peut être portée aux nues un jour puis démolie le lendemain.
Les pervers narcissiques ressentent une envie très intense à l'égard de ceux qui leur semblent posséder les choses qu'ils n'ont pas ou qui simplement tirent plaisir de leur vie. Ce désir d'appropriation peut être d'ordre social comme de séduire un partenaire qui les introduira dans un milieu qu'ils envient, haute bourgeoisie, milieu intellectuel ou artistique… Le bénéfice qu'ils en attendent est de posséder un faire-valoir qui leur permette d'accéder au pouvoir. Ils s'attaqueront ensuite à ce faire-valoir, cherchant à détruire en lui l'estime de soi et la confiance en soi, afin d'augmenter à leurs yeux leur propre valeur.

Détruire et nier l'autre

Cet autre, dont ils ne peuvent se passer, n'est même pas un alter ego respecté, qui aurait une existence, seulement un reflet d'eux-mêmes. D'où la sensation qu'ont les victimes d'être niées dans leur individualité et leurs qualités.
Le pervers narcissique cherche constamment à rehausser l’image qu’il a de lui-même. Il lui est pour cela nécessaire de trouver un être qui l'admire et lui renvoie de lui-même une image prestigieuse. Mais, refusant d'admettre ce besoin de se sentir perpétuellement valorisé, il dénie l'attachement à son faire-valoir que pareil besoin induit, faire-valoir qu'il n'aura de cesse de détruire.
Le pervers ne peut établir une relation fondée sur la symétrie ; il lui faut dominer l'autre et le mettre dans l'impossibilité de réagir et d'arrêter ce combat. C'est à ce titre que l'on est fondé à parler d'une réelle agression sur l'autre, et non d'un jeu pervers-complice. Il n'y a pas de négociation possible avec le pervers, tout est imposé, dès le départ, à la victime à qui a été retiré le pouvoir de dire non et qui, même si elle essayait d'utiliser à son tour des défenses perverses, ne pourrait jamais atteindre à la virtuosité « dans le mal » de son bourreau.
Pour parvenir à la destruction de sa victime, le pervers procède souvent de la façon suivante : - Il aborde sa victime en affichant une certaine « chaleur » externe. - Il s'insinue de plus en plus dans la vie de cette personne. - Il la vampirise par des moyens directs (reproches, insultes, humiliation...) ou indirects. - Finalement la victime tombe dans la dépression, la mélancolie, les comportements addictifs, voire l’automutilation. Elle est ainsi totalement à sa merci ou détruite.


10 commentaires:

  1. Bon article ! :)
    J'ai remarqué que chez tous les pervers ils sont hypocrites faussements gentild invasifs indélicats vicieux sournois vous critique dans votre dos se fais passer pour une victime un innocent ce comporte mal et fuis ensuite refuse toute discussion franche direct et en face à face vous fais attendre vous frustre vous pousse à la faute donne de fausses excuses .
    Ne se voit pas dutout comme il est mais repére chez vous le moindre défaut aucunne spontanéité morose pessimiste anxieux ....
    Flatteur,culpabilise à outrance .
    Un trou noir aucunne empathie ou très peu.
    Impossible d'avoir une communication claire et constructive ne respecte pas sa parole fais semblant de vous écouter mais ne respecte pas vos limites vos besoins vos désirs .
    Vous êtes un objet utile ou un objet haïssable ne dit pas clairement ce qu'il souhaite est toujours flous contradictoires paradoxales .
    Change constament d'avis ....
    Ces personnes sont malades mais pensent que se sont les autres les choses les événements extérieurs le problème ne se remettent jamais en questions.
    Aime dominer contrôler critiquer sans en avoir l'air ou de façon insidieuse ....
    Vous bouffes votre énergie le but du pervers est que vous doutiez de vous des autres et ne pensez que à lui effectivement avec tous les messages et le chaud et le froid vous refflechissais beaucoup cela vous pompe votre énergie vos projets vous devenez très anxieux vous êtes constament frustre constament mal .
    Un conseil fuyez et vite .
    aujourd'hui j'ai appris à me détacher du regards des autres inconnus hypocrites j'ai appris à penser à moi d'abord la culpabilte c'est la peur les croyances les pervers jouent constament avec nos peurs .
    Détachez vous des personnes qui vous font du chantage ou vous culpabilise constament .
    Une relation c'est un échange un partage du donnant donnant la c'est du vide des doutes de la tristesse vous ne pouvez pas être vous même le pervers passe son temps à vous observer vous analyse vous juger ce comporte comme un père ou un flic ...ils sont immatures sans affect sans soutien sans compassion .
    Ya rien à espérer de personne comme ça .
    Ça flatte ça essaie de se rendre indispensable alors qu'on lui a rien demandé et ensuite ça disparait ça réapparait ...sans fin ne surtout pas vous justifier ne surtout pas l'attaquer .
    Neutre superficiel flatteur si besoin mais rien de plus eux ils offres du vent des illusions de l'espoir si c'est pas suivis d'actes c'est un comteur et si en plus il se mêle de votre vie vous demandes des trucs bizarres oui un pervers est Space au niveau sexuel c'est pareil ya pas d'echange c'est une corvée ou une performance pour eux ils ne comprennent pas que c'est un echange.
    Ils sont plutôt SM ils croient que le hard c'est une sexualité épanouissante .ils confondent fantaisies sexuelles avec déviances sexuelles constantes .
    Se lasse vite infidèles....toujours en contact avec leurs ex la nouvelle et chasse les futurs aussi ...ils peuvent avoir dix maîtresses et sont encore insatisfait et oui le p.n. cherche l'amour et la reconnaissance de sa maman qui n'a jamais eu et se sert de l'autre pour régler son problème oeudipe non résolu de vrais malades.

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    1. Wow merci Candy c'est tellement ça omg je vais te relire et relire pour pas oublier et faire en sorte que j'y retourne pas il faut absolument pas...

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    2. Oui il faut coupez et fuir pas par lâcheté mais parce ce qu 'avec un ou une perverse on a toujours tort on est jamais essez bien pour eux on est jamais à la hauteur quoi que l' on fasse ou que l'on dise on est des incapables des idiots des malades des pervers pour eux c'est toujours la faute des autres.
      On ne peut pas avoir toujours tort on ne pas pas êtres toujours frustré on ne peut pas communiquer avec un pervers il vit dans un autre monde c'est la jungle dans sa tête l'autre est sois un rival lsois un ennemi qu 'il faut essayer dominer et de controler et si il ou elle ne se soumet pas la c' est critique dévalorisation punition petage de câble il accuse l'autre de méchant alors c'est lui ou elle le méchant incapable de profiter de la vie incapable de.dialiguer normalement
      Un pervers à 5 ans au niveau affectif ça vole très bas puis c'est jaloux frustré car non seulement ils sont incapables d'être heureux mais de surcroît font tout pour que vous aussi vous soyez malheureux ils veulent pas souffrir seul à deux c'est mieux puis ça les soulagé car quand c'est vous qui souffrez ça leur donne leurs joies de vivre.
      J'ai remarqué cela chez un pervers plus vous êtes mal et plus ils vont biens et quand vous êtes bien alors là eux ils vont mal et font tout pour gacher votre joie en créant des conflits en essayant de vous rendre jalouse ça il adore vous comparér vous dévaloriser en ayant des gestes des mots déplacés ou en vous proposant un truc sympa comme une sortie mais le jour j pas de chance le pervers inventé une excuse pour ne pas faire cette sortie
      9 fois sur 10 c'est comme ça.
      Si y a pas d'actes c'est que l'autre est un mytho et si en plus vous vous sentez mal à l'aise infantile flice inférieur quoi que vous disiez vous fassiez c'est un Pervers. Une personne bienveillante aime voir l'autre bien rire avec lui partager des choses et le soutenir en cas de coup dur chez un pervers tout cela n'existe pas.
      On est des jouets pour eux des ennemis à abattre pas des humains.
      Coupez tout contact et dites vous quand face de vous vous avez pas des adultes mais des acteurs des psychotiques malades et incurables à 80 ans le pervers sera pareil aigri frustré pessimiste souvent seul car il aura fait fuir tout le monde il s'en prendra aux voisins à ses enfants à son assistante à domicile etc. .
      Parfois ya des vieux qui sont seuls on se dit le pauvre ou la pauvre mais avoir un parent comme ça c'est l'enfer un de mes parents était ainsi c'est en coupant les ponts que je souffrais plus mais son assistante a domicile s'en prenait plein la tête.
      Jusqu 'a la fin il s' en prenait aux autres c'est incurable ce disfo ctonnement permanent
      Faut pas les aider
      les excuser faut les fuir comme la peste les pervers rendent dépressifs fous et poussent aux suicident les proies ne vous laissez pas faire fuyez se sont des prédateurs pas des hommes ou des femmes bienveillantes !
      On s'en sort mais avec un pn on avance pas on tourne en rond....
      C'est motel comme relation c'est toxique

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  2. Je reconnais exactement mon ex "copine" qui de surcroît justifiait, déguisait ses infidelités, ses aventures et déviances sexuelles sous le couvert du polyamour. Mentait pour tout et n'importe quoi. Fuyant la moindre discussion allant même jusqu'à feindre des évanouissements pour y échapper et même prise en flagrant délit niera toujours ou trouvera une excuse. Un de ses ex s'est même suicidé après des années de frustrations. Seul et unique solution; se fier à son intuition, prendre note des anormalités et une fois le pervers démasqué : FUIR !

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    1. Oui écouter sa petite voix et son intuition T'as raison!

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  3. Merci pour ce témoignage.... un Pn peut il être a sexuel selon vous. C ad n avoir aucune sexualité réelle avec un partenaire, et se déclarer au dessus de tout ça, et se complère ds des "relations virtuelles"
    Merci...

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  4. Je vis ça en ce moment avec un collègue.... J'ai fait l'erreur de me plaindre et lui ai donné le champ libre pour se déchaîner.... Il ose quand même m'avouer à moi qu'il est tellement hypocrite et manipulateur que personne ne me croira et que tout le monde m'isolera et ça marche bien je suis isolée... Seuls quelques rares m'affirmer quils me croient car ont été témoins de ses agissements.... Au fait je suis introvertie.... Je ne sais pas si ça a une influence.... Il m'a eue en dévalorisant ses deux copines qui l'avaient quitté à cause de cette attitude. Je l'ai consolée en maudissant les pecheresses et aujourd'hui je sais mais personne ne me croit.

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  5. Affaire à suivre de très près . Merci

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  6. Fils de pute de pervers narcissiques

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  7. Ce sont des contacts certes mais surtout de vrais vampires !
    Un pervers va patiemment observer vos valeurs profondes et vos rêves de sorte à se faire passer pour un petit Jésus.
    Il va ensuite mettre en œuvre ce que j'appelle le Love bombing en vous couvrant de cadeaux pour vous reprocher derrière de vouloir leur piquer tout leur argent alors que vous n'aviez rien demandé!
    Un pervers va faire en sorte de critiquer votre entourage soi-disant pour votre bien et pour vous ouvrir les yeux ce seront vos amis puis votre famille puis vos collègues et il fera le petit malheureux dès que vous aurez envie de passer du temps avec les autres en prenant une petite moue toute gentille et disant " tu m'abandonnes".
    Si vous tenez tête malgré tout et que vous continuez à voir ces gens-là il vous fera payer votre indépendance d'esprit d'une manière ou d'une autre.
    Mon ex PN savait que mon travail était important pour moi, il faisait exprès de m'empêcher de dormir alors que j'avais besoin de sommeil pour être opérationnelle.. au début on se dit que c'est le grand amour et que c'est pour passer de belle nuit torride mais la réalité c'est que le lendemain vous êtes épuisé et que à la veille de chaque date importante il recommence son petit manège de séducteur à la noix pour que vous soyez épuisée le lendemain et bonne à rien.
    Le mien m'empêcher de pratiquer mes passions et quand j'osais demander quelque chose dans un magasin à quelqu'un le soir il casser des objets à la maison prétendant que j'avais draguer sous son nez alors que j'avais simplement demandé des renseignements à un vendeur.
    La perversion narcissique est une vraie pathologie dans le processus est toujours le même : 1 séduction 2 emprise 3 destruction.
    Quand j'ai quitté ce gros tordu à cause de sa jalousie maladive il a brisé mon ordinateur professionnel contre un radiateur!
    Attention si le PN vous insulte sachez qu'il finira par casser des objets puis par vous frapper.
    FUYEZ!! FUYEZ!! FUYEZ!!
    Sinon vous allez y laisser votre santé physique et mentale.
    Courage!

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